Trois quarts des Français (77%) pensent que le regroupement de personnes âgées dans des établissements d’hébergement représente un risque d’exclusion de la société, de prise en charge inadaptée et de souffrance des résidents, selon l’étude OpinionWay . Et pour 2 Français sur 3 (66%), c’est à l’entourage familial de prendre en charge la perte d’autonomie d’un proche, et ce quel que soit le degré de parenté.

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Ces tiny houses sont dotées d’équipements pour personnes à mobilité réduite tels qu’une vaste salle de bain, une douche extra-plate, des poignées près des toilettes ou des rampes d’accès à l’extérieur. La maison est de plain-pied, ce qui permet de disposer de pièces de même niveau. Les baies vitrées, quant à elles, offrent la possibilité de rentrer facilement dans le logement.

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Cette initiative, après la crise sanitaire et la polémique sur les mauvais traitements dans les Ehpad, ainsi que la publication du livre enquête Les Fossoyeurs, du journaliste Victor Castanet, connaît un succès croissant: «On propose des maisons destinées aux personnes à mobilité réduite depuis 2019. Depuis le premier confinement, pendant lequel des personnes s’inquiétaient pour leurs proches en maison de retraite, nous avons constaté une forte croissance de la demande.